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Environnement


  • Tote bag en coton : est-il réellement écologique ?
    Apparus en France il y a une quinzaine d’années et présentés comme une alternative aux sacs en plastique à usage unique, les tote bags en coton ne sont malheureusement pas si écologiques qu’on pourrait le penser. Leur fabrication a un impact environnemental non négligeable, et leur utilisation reste limitée.

  • Biohut : des nurseries artificielles au service de la biodiversité côtière
    Face à l’extension des zones bétonnées sur le littoral, l’entreprise montpelliéraine Ecocean agit pour préserver la biodiversité des écosystèmes marins. Les solutions de restauration écologique proposées par l’entreprise sont appelées Biohut®. Il s’agit d’habitats artificiels passifs qui vont pouvoir jouer le rôle de nurseries. Les petits poissons côtiers au stade de post-larves ont en effet besoin d’endroits favorables à leur développement, à l’abri des prédateurs. Zoom sur ces modules zéro déchet, 100 % recyclables et de fabrication 100 % française.

  • Réchauffement : 5 réponses à apporter à un climatosceptique
    Malgré les nombreuses données fournies depuis des années par les scientifiques, il existe encore des personnes qui mettent en doute la réalité des changements climatiques, ou leur origine. Quels arguments opposer à ces personnes, que l’on appelle des climatosceptiques ? Voici cinq réponses à apporter aux fausses croyances les plus répandues sur le réchauffement climatique, pour permettre une prise de conscience chez les plus réticents.


  • Des dizaines de milliers de poissons morts dans le golfe de Gascogne
    Des photos saisissantes, publiées jeudi 3 février par l’ONG Sea Shepherd, dévoilent un immense banc de poissons morts jetés à la mer dans le golfe de Gascogne, au large des côtes de La Rochelle. Il s’agit de milliers de merlans bleus qui sont généralement utilisés à la fabrication du surimi. On ignore pour l’instant pourquoi ils ont été rejetés illégalement en haute mer. Détails sur ce pillage.

  • Football : les noyaux d’olives remplacent les billes noires sur les terrains synthétiques
    Ces dernières années, les fans de football jouent de plus en plus sur des terrains en gazon synthétique. C’est un vrai phénomène, surtout dans les zones urbaines. Peu couteuses et simples d’entretien, ces surfaces assurent un vrai confort de jeu. Cependant les petites billes noires artificielles présentent sur ces pelouses représentent un fléau pour l’environnement et potentiellement pour la santé. Une solution écoresponsable a vu le jour pour remplacer ces granules noires : les noyaux d’olives concassés. Décryptage.


  • Une militante crée un tampon géant pour lutter contre le plastique
    La militante écologiste britannique Ella Daish a créé un tampon géant de 1,80 m à partir d’applicateurs en plastique collectés dans la nature. L’objectif : alerter les fabricants de protections périodiques sur le caractère polluant de leurs produits. Accompagnée de sa sculpture, elle s’est rendue devant le siège européen du groupe Procter & Gamble, qui possède notamment la marque Tampax.

  • Participer au comptage des oiseaux des jardins le 29 et 30 janvier
    Organisé depuis 2013, ce week-end de comptage des oiseaux des jardins permet d’agir en faveur de la connaissance et de la protection de nos oiseaux, et alimente également les bases de données. Pas besoin d’être ornithologue, il suffit d’être curieux, et d’avoir une heure à consacrer à l’observation des oiseaux le week-end des 29 & 30 janvier 2022. Découvrez comment y participer.

  • Pollution chimique : l’une des 9 limites planétaires vient d’être franchie
    C’est à partir de 2009 qu’un groupe de scientifiques du Stockholm Resilience Center (SRC) a commencé à évaluer les impacts des activités humaines sur l’équilibre de la planète. Ils ont ainsi défini 9 variables qui régulent la stabilité de la Terre et qu’il ne faut pas dépasser pour garantir un essor « sûr et juste » pour l’humanité. Mais depuis le 18 janvier dernier, une nouvelle limite planétaire a été franchie, celle de la pollution chimique, et ceci dans la plus grande indifférence.

  • Stoppons le commerce d’ailerons de requin !
    L’APECS, association dédiée à la protection des requins et des raies, mène des programmes scientifiques pour mieux connaître ces espèces menacées. Elle soutient, avec d’autres ONG, une initiative citoyenne « Stop Finning » qui vise à stopper le commerce d’ailerons de requin au sein de l’UE, en poussant les élus à légiférer sur la pêche.

  • GIEC : le rapport alarmant du 9 août de retour sur le devant de la scène
    Depuis quelques semaines, de nombreux scientifiques ont pu dresser des parallèles entre le film Don’t Look Up et l’urgence climatique. Avec la médiatisation exceptionnelle du long-métrage diffusé sur Netflix, le rapport alarmiste du GIEC, publié l’été dernier et qui était passé un peu inaperçu, est de retour sur le devant de la scène. Explications.

  • Écoblanchiment : comment repérer et éviter le greenwashing ?
    Inventé dans les années 1980 par Jay Westerveld, militant écologiste, le terme greenwashing, ou écoblanchiment, désigne une pratique marketing trompeuse. Une marque est dans une démarche de greenwashing lorsqu’elle fait croire à ses clients que ses produits, ses actions ou ses engagements sont écoresponsables, quand bien même ce n’est pas le cas. Comment démêler le vrai du faux, et repérer, identifier et éviter le greenwashing ?

  • Raphaël expose des déchets récupérés dans la Seine à l’aide d’aimants
    En compagnie de son père, un jeune garçon nommé Raphaël, 11 ans, utilise un aimant très puissant pour récupérer des déchets jetés au fond de la Seine. Pour alerter l’opinion, une exposition temporaire s’est déroulée en octobre dernier, à Paris, pour montrer ce qu’il a trouvé.

  • Pourquoi « Don’t look up » est une caricature de notre crise climatique
    Ces dernières semaines, c’est le film phénomène dont tout le monde parle : « Don't Look Up », diffusé sur la plateforme Netflix. Le pitch est simple, c’est le récit de scientifiques qui découvrent qu’une énorme comète est en direction de la Terre, mais contrairement à toute logique, personne ne prend au sérieux le désastre qui se profile ! L’analogie avec les climatologues qui alertent sur le dérèglement climatique depuis des années est voulue. Découvrez ce que pensent les scientifiques de cette caricature de notre crise climatique.

  • Lot : des écuroducs pour faciliter le passage des écureuils au-dessus des routes
    Les habitats naturels des écureuils, comme ceux de nombreuses espèces animales, sont aujourd’hui traversés par des axes routiers. En tentant de les franchir pour rejoindre leur territoire, les animaux se font souvent percuter par les voitures. Pour permettre aux écureuils roux de se déplacer sans risque, des passerelles aériennes appelées « écuroducs » ont été mises en place dans le Lot.

  • Récupérer les poils de chien pour en faire des vêtements en laine
    Pour les propriétaires de chiens à poils longs c’est souvent une corvée, mais pour une start-up allemande c’est une matière première hors du commun. Que faire des poils de votre fidèle compagnon ? Plutôt que de les jeter à la poubelle, les fondatrices de Modus Intarsia les récupèrent, en font de la laine et fabriquent des vêtements ! Une initiative originale qui mise sur l’approvisionnement local, limitant ainsi l’importation, mais aussi l’utilisation de matières synthétiques. Découvrez la future fibre à la mode avec cette laine aux propriétés si particulières.

  • 5 gestes pour un Noël solidaire avec les personnes démunies
    Si Noël est une période festive pour une grande partie de la population, ce n’est malheureusement pas le cas pour tout le monde. Les personnes isolées, démunies, en situation de précarité, doivent faire face à un quotidien très difficile. Vous souhaitez apporter votre aide en faisant un geste durant cette fête synonyme de partage et de générosité ? Voici 5 idées pour passer un Noël solidaire.

  • Remplacer le plastique : toutes les alternatives sont-elles bonnes ?
    L’impact de la pollution plastique sur l’environnement n’est plus à prouver. Les conséquences des déchets en plastique sur les écosystèmes et les espèces animales sont terribles, et de nombreux industriels tentent de proposer des alternatives plus vertes pour le remplacer. Mais toutes ces alternatives sont-elles aussi écologiques et saines qu’elles le prétendent ?

  • Boîtes aux lettres : l’autocollant « Oui Pub » va peut-être remplacer le « Stop Pub »
    Vous connaissez l’autocollant « Stop Pub », qui permet de refuser les publicités papier dans les boîtes aux lettres pour lutter contre la production de déchets. Bientôt, un nouvel autocollant pourrait se généraliser : l’autocollant « Oui Pub », qui limiterait la distribution d’imprimés publicitaires aux boîtes aux lettres sur lesquelles il est apposé.

  • Qu’est-ce que la saponification à froid ? Secrets et atouts d’une technique ancestrale
    La saponification à froid est une technique artisanale qui permet d’obtenir des savons naturellement hydratants, ayant conservé tous leurs principes actifs. Cette méthode de fabrication ancestrale nécessite peu d’eau et d’énergie, ce qui explique son impact environnemental faible. Quels sont les secrets de la saponification à froid ? Quels sont ses atouts  ? Nous vous expliquons tout.

  • Kiev : une baleine en plastique recyclé surplombe la ville
    Depuis peu, les habitants de Kiev, capitale de l’Ukraine, peuvent observer une étrange sculpture : une baleine construite à partir de plastique recyclé surplombe la ville. Créée par l’artiste Valeriy Korshunov, l’œuvre a pour but de sensibiliser les habitants à la protection de l’environnement.

  • Utiliser des gobelets en carton est-il vraiment écoresponsable ?
    Après l’interdiction des gobelets en plastique à usage unique, beaucoup de professionnels de la restauration se sont orientés vers l’utilisation de gobelets en carton. Dans l’hexagone, chaque seconde, 130 gobelets en carton sont jetés à la poubelle, soit 4,7 milliards chaque année. Les gobelets en carton constituent-ils une alternative écoresponsable au plastique en matière d’impact environnemental ? Éléments de réponses.

  • Le compost humain, une alternative aux obsèques traditionnelles
    Les enjeux de développement durable et de préservation de l’environnement concernent désormais des domaines de plus en plus larges. Maintenant, c’est aussi le cas de l’au-delà. Pour les personnes qui souhaitent une « mort écologique », une société américaine propose un dispositif permettant la transformation du corps humain en compost. La famille peut ensuite récupérer 1 m3 de compost. Zoom sur cette alternative aux obsèques traditionnelles, de l’enterrement et la crémation.